[Acceptée] Candidature d'une disciple de Sacrieur

Saryna est la fille de deux Disciples de Sacrieur, sa religion lui a donc été imposée à sa naissance. Sa jeunesse fut assez calme, élevée dans les plaines de Cania dans une petite maison assez isolée, ses parents cultivant la terre et élevant des animaux afin de vivre tranquillement, quelque chose d'assez surprenant pour des Disciples du Dieu des Douleurs.

Une soirée d'été, alors que la petite famille dégustait une cuisse de Sanglier, une troupe de bandits entra dans les champs des parents de Saryna. Le père attrapa une pioche et sorti, il hurla aux bandit de partir mais ils refusèrent, saccageant les terres durement travaillées durant des années. Le père empoigna fermement la pioche à deux mains et fonça tête baissée sur les brigands. Par la fenêtre de la maisonnette, Saryna et sa mère observaient la scène apeurée, la petite fille âgée d'une dizaine d'année avait les larmes aux yeux. Les bandits entourèrent le père de la fillette et l'attaquèrent ensemble, il tomba rapidement sous les nombreux coups de la petite bande qui se tourna alors vers la maison d'où était sorti l'attaquant. Ils s'y dirigèrent, la mère dit à Saryna de partir par la fenêtre à l'arrière de la maison, ce qu'elle fit sans discuter, puis alla se cacher dans des buissons. Le groupe entra dans la demeure de la famille, d'où s'échappa un cri, puis plus rien. La petite bande sorti, ricanant, retournant saccager le champ. La jeune fille ne retourna pas dans la maison, sachant pertinemment ce qui s'y était passé.

Durant plusieurs années elle vagabonda, se nourrissant comme elle pouvait, volant dans les champs ou les charrettes des marchands qui passaient.

Elle avait atteint l'âge de 15 ans, elle était devenue habile dans l'art du chapardage et arrivait à subsister. Elle avait pris l'habitude de voler dans les champs qui bordaient Bonta, prêt de la route, afin de piquer quelques petites choses dans les caravanes qui se dirigeaient vers la Cité Blanche. Un jour ensoleillé d'aperirel, Saryna était en train de ramasser quelques fruits dans ces fameux champs, mais ce jour là elle s'était approchée trop prêt des remparts de Bonta et les gardes qui faisaient leurs rondes l'aperçurent. Elle essaya de s'enfuir mais n'alla pas loin, une deuxième patrouille arrivait de l'autre coté. Saryna était face à six Gardes Bontariens hallebardes en mains, prêts à attaquer. D'un seul homme, ils chargèrent la jeune fille, qui ne sut quoi faire, c'est alors qu'apparut un homme, encapuché avec une longue cape pourpre. Les coups de hallebardes se fracassèrent contre un bouclier invisible, d'un geste de la main, il envoya des flammes sur trois des Bontariens, de l'autre il tenait un baton avec lequel il frappa les trois autres. Enfin, il attrapa Saryna par l'épaule et ils se trouvèrent instantanément à Astrub.

Durant quelques jours, elle suivit cet homme qui l'avait laissé juste après l'avoir sauvé, elle pensait être discrète, mais il savait très bien qu'elle était là. Il l'a recueilli chez lui, puis au bout d'un moment, lui demanda de trouver une autre demeure et lui indiqua celle d'une guilde n'acceptant que des femmes. Elle s'y rendit.

Saryna frappa à la porte et se présenta:

_ Je me nomme Saryna et je désire intégrer votre Guilde !

Après une matinée forte en émotions, la jeune Iopette décida d'aller déposer ses quelques étoffes d'ours fraîchement arrachées dans la maison de guilde. Au loin elle vit la silhouette d'une petite Sacrieuse qui frappait à la porte. Apparemment la maison était vide car la disciple Sacrieur s'en alla. Cleo se demandait bien se qu'elle voulait. "Une nouvelle recrue? " pensa-t-elle... " Je ne serais donc peut-etre plus la petite nouvelle ^^ "

Au cas où elle repasserait par là, Cleo décida de lui laisser un petit message. Elle prit une plume de piou ramassée il y a peu et se mit à écrire :

" Ton histoire est tristounette et plutôt bien écrite ( pour les fautes je ne suis pas une référence donc je laisse l'avis à quelqu'un d'autre =) ) par contre tu ne dis pas clairement se qui te motive à postuler dans cette guilde. Je donnerais donc mon avis final par la suite.
Cordialement, Cleo-Roma. "

Et la Iopette s'en alla la tête dans les nuages comme d'habitude.

Le lendemain, Saryna revint devant la maison des Vices et Rales, il y trouva un mot, elle mit un petit moment pour le lire puis elle sortit une plume de son petit sac accroché à son dos, et griffonna quelques mots:

" N'ayant parlé à personne, il est normal que je n'ai pas pu donner mes motivations. Je recherche une Guilde assez tranquille, où la bonne entente et l'entraide règne et où je peux être éloigné des Bontariens... Je recherche aussi une présence féminine, étant souvent avec l'homme qui m'a recueilli cela fait longtemps que je n'ai pas fréquenté de femmes et il est vrai que cela me manque.
J'ai demandé conseil à mon "père adoptif" en lui donnant ces critères, il m'a indiquait votre demeure et me voici. "

Elle reposa le petit papier et rangea sa plume, puis alla s'assoir non-loin de la petite maison, afin d'être là si l'on voulait lui poser d'autres questions.

La matrone Vicéralienne apposa ces mots à la suite :

Maljour,

Je pense que tu frappes à la bonne porte. Sachant peu de choses sur toi, il faudrait t'accorder un entretien. Ceci se fera en ma présence et/ou celle d'une ou des deux bras droits, Nyaru ou Cry-Mia.
Pour l'endroit : une taverne dans Brâkmar.
Pour l'heure et la date : là ça se complique, j'ai très peu de temps pour moi, à mon plus grand regret. Par contre demain matin de bonne heure cela peut éventuellement se faire. Sinon, il faudra se croiser dans le week-end. J'aimerais connaître cependant l'avis des autres membres à ton sujet.

Et petite question : quel est donc ce "père adoptif" qui te conseille de te joindre à nous ?


[HRP] Quelques fautes dans ta candidature, d'orthographe, de grammaire et de conjugaison, mais l'important c'est que tu ne parles pas le Bwork. Ton histoire est triste, cela manque de vie. Et il est vrai que tu aurais dû intégrer un peu plus de motivations dans ton premier post. On en saura plus lors de l'entretien. À très bientôt [/HRP]

Saryna avança puis regarda la Disciple d'Enutrof écrire, puis lui répondu d'une voie intimidée.

"Demain matin, je ne serais pas disponible, mais je le serais dans l'après midi... J'ai déjà parlé un peu avec Nyaru... Mon père adoptif... Et bien... C'est un ami des Vices et Rales, la plupart d'entre vous l'a déjà croisé, il se nomme Ken-Ryuhikari..."

[HRP]Comme tu as pu le constater, j'ai écrit cela assez tard, je pense faire moins de faute habituellement. La tristesse de l'histoire est un choix que j'ai fait et que j'assume, peut être un peu stéréotypé dans le fond mais j'ai essayé de le développer, c'est un récit au point de vu externe puis interne par petit moment, il est normal que cela donne une sensation de "manque de vie" ^^ [HRP]

Après plusieurs jours d'absences, la jeune disciple d'eniripsa eu l'occasion de donner signe de vie. L'orage l'ayant retenu éloignée de ses consoeurs il était temps qu'elle se représente à nouveau dans la maison pour mettre fin aux possibles inquiétudes de ses amies. Elle attrapa le parchemin et commença à écrire:

"Candidature plutôt intéréssante , triste mais faut dire que j'apprécie quand meme. Concernant les fautes je ne suis pas irréprochable bien au contraire donc je m'abstiendrais de faire des remarques. En définitive je suis Pour que tu passes un entretien et te souhaite deja bonne chance si les autres réponses s'avèrent positive."

Nyaru de l'étage avait entendue frappé à la porte. Mais trop fatiguer, l'archère, n'alla pas ouvrir. Au lieu de ça, elle pris son coussin et le mit sur sa tête pour se rendormir profondement.

A son réveil, elle descendit, prête pour une journée près de la Péninsule des gelées. L'archère passa devant la table assez rapidement. Ce n'est que devant la porte, qu'elle réalisa qu'un parchemin y était poser.

La jeune femme, retourna sur ses pas. Et lue. Au fur et à mesure de sa lecture son sourir s'agrandit. Elle prit sa plume de bwak, et nota :

"Je ne pensais pas jeune sacri que tu postulerais si rapidement.
Connaissant, ton protecteur, et après avoir discuter avec toi, je suis Pour ton admission dans nos rangs."

Après avoir laisser ce petit mot, la Crâ partie pour sa destination première.

Donc nous nous sommes loupées ce week-end. Il faut croire que j'arrive bien trop tôt le matin...

Avis aux bras-droit ! Que la première qui croise Saryna lui fasse passer l'entretien : si ce n'est pas moi, que ce soit l'une de vous deux qui s'en charge, pour savoir si elle est digne d'intégrer nos rangs, ou pas.

Se réveillant un peu trop tard, Neo-Op se racla la gorge afin d'attirer l'attention de la sacrieuse:
-BIENVENUE à TOI =) J'espère que tu te plairas (et t'amusera mais ça c'est sur en voyant nos moment de délires, hein Cry ;p ?) chez nous ^^ Et n'sois pas timide, on mord que les mâles pas gentils =D

Tout est calme a cette heure de la nuit dans cette demeure des Vices & Râles, les membres présents sont à à l'étage profitant d'un repos bien mérité.
Le trot d'une dinde stoppant a côté de la maison se fait entendre, puis la porte s'ouvre en grinçant légèrement.
La silhouette de Birgit apparait dans l'encadrement.
- Toutes en train de dormir. Ah la jeunesse n'est plus ce quelle était, de mon temps ... dit-elle en souriant et en se plongeant dans ses souvenirs.

Regardant les parchemins relatifs aux engagement, elle lu la dernière candidature et prit la plume pour écrire un mot en bas du parchemin.

Bonjour a toutes.
J'ai repris mes études, c'est pour cela que je suis peu présente actuellement.
Pour les mauvaises langues, je répondrais, qu'il n'y a pas d'age pour apprendre.

Pour les curieuses, je suis en formation chez madame Teille.
Vous la connaissez surement, son petit nom est Bou. Grâce a elle, j'apprends a augmenter mes capacités.
Nous étudions le soir et je passe toute la journée du lendemain a méditer sur les enseignements de la veille.

Mais revenons a nos bouftous.

Ton histoire est triste. Tu trouveras chez nous aide et réconfort. Je te souhaite la bienvenue malgré mon retard.
Si a un quelconque moment, les évènements passés te rendent triste, fait moi signe, nous irons vider quelques chopines pour les oublier.

Je passais juste vous donner quelque nouvelles, je retourne a mes études.

Amicalement Birgit.

Elle mit le parchemin en évidence puis ressortit sans faire de bruit.