[Acceptée] Postulation d'infirmiere

639,certainement l'année que le monde des douzes retiendra tout au long de son existence.(naméoh c'est l'année de ma naissance quand meme :p)
En effet en cette année naquit une jeune eniripsa nommée infirmiere-eoxyde.
Fille d'une cratte et d'un feca,elle acquit l'intelligence de ses deux parents,la malice de sa mère et le courage de son père
Une amie de sa mère,eniripsa elle même, lui enseigna toutes les connaissances qu'une eniripsa digne de ce nom se devait de retenir.
Au fil du temps, son talent grandit.
Son caractère se forgeait en même temps que les jours passaient.
Généreuse, amicale, fière, protectrice envers ses amis, tels étaient les adjectifs qui semblaient apte à la décrire.
Elle adorait passer ses journées assise contre un enclos à discuter de tout et de rien avec deux des personnes qu'elle apprécie le plus.

Mais la solitude prenait une place important dans sa vie, elle grimpait souvent au sommet de la montagne des koalaks pour s'y reposer et être au calme.
Lors d'une de ses nombreuses journées de randonnées, elle reprit son souffle à proximité de la maison d'un groupe d'amazone.
Elle fût stupéfaite d'en voir resortir sa mère avec un parchemin,sourire aux lèvres.
Avait-elle postulé pour rejoindre ces guerrières?Allait-elle par la même occasion l'abandonnait?
Infirmiere prit donc la décision d'espionner sa mère et de dénichait ce rouleau de papier afin d'en connaître le contenu.
Elle se posait de nombreues questions?Fatiguée par cette journée éprouvante elle décida de mettre un terme à sa journée.Comme on le disait,la nuit portait conseil, elle aiderait sûrement la jeune eniripsa à prendre une décision.
L'aube approchait et Infirmiere n'avait pas fermé l'oeil de la nuit.Elle décida d'aller voir sa mère et de lui expliquait qu'elle l'avait vu la veille.
La cratte, comme à son habitude, récoltait du pollen de blop.L'eniripsa se rendit donc la où vivent les blops.Elle mit deux jours pour y arriver.
Après quelques heures de recherches, elle finit par trouver sa mère.Une discution commença entre les deux femmes:
"Mère, je vous ai vu il y a quelques jours ressortir de la maison de ce groupe d'amazones.
-Les vicéraliennes?
-Oui c'est bien leur nom.
-Je connais plusieurs membres de ce groupe et je leur ai demandé de prendre soin de toi s'il m'arrivait le moindre problème.Comme tu le sais je suis recherchée par bon nombres de bontariens.
-Je le sais mère.Qui devrais-je contacter si cela arrivait?
-Rend toi dans la maison des vicéraliennes et contacte la première personne que tu y trouveras.Maintenant laisse moi recueillir mon pollen."
Mais à ce moment, un pandawa surgit et assema un coup de marteau dans la nuque de la cratte, la brisant nette.Elle s'effondra.
Infirmiere sortit sa baguette prête à se défendre mais le pandawa était deja reparti.Les larmes coulèrent sur les joues de l'eniripsa, elle s'allongea au côté du cadavre de sa mère et pleurea toutes les larmes de son corps.
Elle jura de venger la défunte et comme le lui avait demander sa mère se rendit dans la maison des vicéraliennes mais comme personne ne s'y trouvait elle y déposa juste une postulation.

Cry, la jeune Crâ, avait dormi dans la maison de sa mère la veille, après une dure journée de marche. Elle s'éveilla tôt ce matin là. Elle tourna la tête vers le lit de sa mère, sourit en la voyant dormir comme un bébé dans les bras de son mari, et descendit discrètement. Elle se dirigea à pas lents vers la cuisine, et se concocta un copieux petit déjeuner.

Une fois pleinement rassasiée, je retournais à l'étage pour me changer. Les rayons du soleil filtraient au travers des barreaux des fenêtres. Je me changeais à la hâte, et dévalais les escaliers.

Le soleil au dehors lui réchauffait la peau. Avant de partir faire des petites emplettes au village, elle fit un détour par la maison des Vices. Les montagnes étaient tranquilles ce matin.

La maison était toujours aussi calme. Pas un chacha. A son premier pas à l'intérieur de la bâtisse, elle vit un parchemin à même le sol.

"Oh, oh ! Serait-ce une nouvelle demande d'intégration ?", dit-elle à voix haute.

Le parchemin en main, elle alla dans la cuisine pour me prendre une bière. Le stock commençait visiblement à diminuer.

La jeune Crâ prit une plume et se mit à écrire :

"Bon, bon ! Encore un chou ! x). Ta mère n'est pas restée longtemps parmi nous, et sa mort nous a toutes attristés. Personnellement je serais heureuse que tu intègres nos rangs."

Sur ce, elle abandonna ses affaires sur la table, et sortit en courant de la maison…

639 à 640, ça fait un an ! Tu n'as pas un an !?

En effet, nous connaissions ta mère, et juste pour cette raison nous sommes prêtes à t'accueillir parmi nous. Je ne pense pas que l'une d'entre nous y voit une objection, mais j'aimerais que chacun s'exprime à ce sujet afin de te compter définitivement dans nos rangs.

Après plusieurs heures à tuer des blops en donjon, Nyaru rentra à la maison des guerrières, pour y déposer, ses ressources.

Elle vit le parchemin sur la table.

Les bras chargés, elle parcouru rapidement, le parchemin des yeux.
Monta à l'étage, y déposer tout son bric à brac, et revint vers la table.

La Crâ pris sa plume, et inscrivit :

La perte de ta mère ma fait de la peine.
Bienvenue chez nous.

Darks-flammes avait complètement perdue la notion du temps. Ces bois se ressemblaient tous! Les arbres étaient tellement épais qu'il était impossible de connaître l'avancement du soleil. Pourquoi s'était-elle coupée du monde? Elle avait déjà oubliée. Mais la vue de la longue cicatrice barrant sa poitrine suffit à lui rafraichir la mémoire. L'osamodas était passée à deux doigts de la mort. Encore une attaque bontarienne... Elle avait du trouver le moyen de s'enfuir, le combat étant trop inégal. Huit bontariens contre deux brakmarienne... Son amie n'avait pas survécue. Accablé par la tristesse, Darks-flammes s'était réfugiée pour méditer.

A présent, le temps était venu.

L'osamodas se mit en route pour la montagne des koalaks. Ce trajet lui fit bien une semaine, en passant par le chanil pour récupérer ses familiers. Une fois devant la porte de la splendide bâtisse, un bout de parchemin dépassant de l'urne à candidature attira son attention. Une nouvelle candidature?

Tout en poussant la porte, l'osamodas prit le parchemin. Une candidature, voilà qui marquerait son retour. Mais elle tomba des nues en lisant la postulation. N'y avait-il donc jamais de fin heureuse à une histoire?

Quelle bien triste histoire!

Je connaissait bien ta mère, c'était une personne vraiment formidable. Si son sang coule dans tes veines, je ne voit aucune raison de refuser cette candidature.

Infirmiere, bienvenu chez nous.